Heidi était maintenant une audacieuse, une vraie ! Et oui, elle avait passé le test final haut la main ! Il faut avouer que sa divergence avait joué son rôle dans tout ça, mais puisque cela faisait partie d’elle, ce n’était pas tricher non ? Bref, elle avait eu un assez bon résultat, mais la distribution des vraies fonctions n’avait pas encore été faite. Lorsque ce serait le cas, les mieux classé choisiront en premier le poste qu’ils veulent exercer dans la faction et ainsi de suite jusqu’au dernier. Heidi n’avait pas réellement pensé à cela jusqu’à maintenant. Elle avait été assez occupée à s’arranger pour ne pas être exclue de la faction. Mais bref, en attendant d’Avoir leurs vrais postes, les nouveaux audacieux s’étaient fait distribuer diverses tâches. Heidi c’était retrouvée à surveiller les sans-factions. La journée venait à peine de commencer et la jeune audacieuse la trouvait déjà interminable… Pourquoi devait-elle patrouiller dans le domaine de ceux qui n’avait leur place nulle part ? Avait-on peur d’eux ? Et pourquoi ? Le pire qui pouvait arriver était qu’ils s’entre-tuent non ? Et même à ça, Heidi ne voyait pas ce qui avait de mal à ça. Premièrement, ^ça serait beaucoup moins de travail s’il y avait moins de sans-faction. Et deuxièmes, Heidi aurait préféré mourir plutôt que de ne faire partie d’aucune faction.
La journée s’annonçait calme, la jeune femme se promenait, l’esprit dérivant dans ses pensées, quand soudain elle entendit des cris. Soudain alerte, elle se dirigea vers l’origine de la perturbation et arriva sur une foule qu’elle ne se gêna pas pour écarter brusquement sans s’excuser. Au centre, trois hommes s’étaient mis contre 1 et le rouaient de coups. La jeune femme s’interposa immédiatement en pointant son arme sur les attaquants. «Arrêtez immédiatement» Somma-t-elle . Puisque personne ne sembla lui prêter attention, elle tira un coup vers le sol qui passa a un cheveu de l’homme qui était en train de rouer de coups sa victime qui étaient maintenue par des deux autres. Le combat prit fin immédiatement et les trois malfrats prirent la poudre d’escampette. La foule se dispersa et Heidi se précipita vers la victime. «Est-ce que tu m’entends ? Es-tu blessé ?» Demanda l’audacieuse en examinant ce qu’elle pouvait voir du corps de a victime. Les blessures semblaient légères. Bien que l’homme ait surement plusieurs ecchymoses et quelques courbatures pour plusieurs jours, rien ne semblait menacer sa vie. La jeune femme traîna le pauvre homme plus loin pour dégager la rue et le soustraire aux regards des passants. Elle l’installa à l’ombre et le laissa se remettre de ses émotions avant de lui demander : «Es-tu capable de bouger tous tes membres ?»
[Désolée je ne savais pas comment commencer, si quelque chose ne va pas, envoie moi un mp =)]
Dernière édition par Heidi O'connor le Jeu 18 Sep - 4:20, édité 1 fois
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Ven 5 Sep - 1:53
heidi & chaton
Un Secours Inattendu.
danger.
Imagine Dragons - Battle Cry
Quand on voit un Sans-Faction revenir tout les matins avec un bon plat réchauffé, on se pause des questions. Pour la plupart des autres Sans-Factions, ils ont commencé à s'intéresser à moi et ils ont compris que je n'allais sans doute pas passer la nuit chez les Érudits ou les Fraternels pour aller leur construire une petite maison bien sympathique. Non, surtout lorsqu'un doux parfum s'accroche à ma peau ou que je ne revienne avec des vêtements mal rhabillés. Rapidement, ils ont su que j'acceptais de vendre mon corps contre un peu de nourriture. Et plus les temps passent et plus j'ai des clients fidèles allant jusqu'à me donner plus que je n'en avais demandé. Ce matin là, j'étais encore revenu avec un bon plat que je comptais donner à ma famille afin de satisfaire leur faim et peut être même la mienne. Mais un groupe de Sans-Factions vinrent barrer ma route. Trois frères qui comptaient sans aucun doute me faire passer un mauvais quart d'heure, à moins que cela ne soit de dérober le bien nouvellement acquis. Je courbais l'échine face à ces gaillards, mais ce n'est pas pour autant que je pris la décision de fuir. Il ne fallait sûrement pas détourner le dos à un prédateur ! Non, il fallait le fixer jusqu'à qu'il vous lâche même si présentement, j'avais affaire à trois paires de yeux. L'un d'eux, le plus vieux, se mit alors à prendre la parole en premier, m'enquiquinant avec mon boulot sale, me traitant de tout les noms avant que ses deux autres frères ne viennent à ricaner comme des bêtes. Je ne bronchais pas bien que je me suis mis à grogner. Je voulais les cogner, mais je savais très bien qu'il me serait alors impossible de les vaincre, étant plus fort et plus nombreux que moi. A eux trois, ils formaient une bande de voyou n'hésitant pas à s'imposant n'importe où où ils allaient. Ils étaient assez reconnu pour s'en être prit à de pauvres individus avant de les abandonner pour mort. Je craignais alors que ce soit mon tour aujourd'hui, qu'ils viennent à me mettre en miette. Aussi, je leur dis que ce n'était pas la peine de tourner autour du pot s'ils voulaient la nourriture, cette même nourriture que je leur tendis avec regret. Mais d'un revers de la main, le chef de la troupe envoya valser le plat qui alla s'écraser sur le sol. Je fus surpris par une tel acte de leur part. N'importe qui se serait battu pour avoir ce bon morceau à présent gâché. Seulement, je ne savais pas que leur attention était plus... animale. Je le compris que trop tard, alors que l'on me maintenait pour me déshabiller tandis que je me débattais en gémissant. Rapidement, ils commirent leur crime infâme envers ma personne avant de partir vivement, tous en train de rire de leur acte. Personne n'avait bien évidemment réagit... C'est un terrain ou la question est seulement de survivre et que le fait même de sauver son prochain est pratiquement inimaginable. Je ne leur en voulait pas malgré tout, je les comprenais parfaitement. Mais si eux ne désiraient pas rendre justice, je ne perdis pas de temps, moi, à les rattraper pensant régler leur compte. Néanmoins, c'est encore une fois moi qui fut victime des autres, tabassés comme une pauvre créature, en plein milieu de la ville en ruine où d'autres Sans-Faction jouaient les spectateurs. Je bien cru que ce fut la fin de tout mon existence, dans la honte avant qu'un tir ne fasse fuir mes agresseurs... Prostré sur moi-même, en position de fœtus, je levais faiblement la tête pour apercevoir une jeune femme qui alla se pencher au-dessus de moi pour m'examiner. J'étais tendu. Stressé. Surpris... Je ne savais tout simplement plus quoi faire outre la laisser faire, aussi je ne répondis pas lorsqu'elle me demanda...
- Est-ce que tu m’entends ? Es-tu blessé ?
J'étais plus que confus surtout même si au fond, je me sentais blessé et détruit psychologiquement. Néanmoins, je n'osais pas lui faire part des abus dont je fus victime. Le fait même qu'elle ne vienne m'aider après cet acharnement envers ma personne me gênait beaucoup. Habituellement, c'était les Altruistes qui venaient me sauver, loin de moi l'un de ces Audacieux sans doute encore plus dangereux que les trois gars qui me firent du mal... Elle me traîna donc comme un vieux sac tandis que je me laissais faire, toujours en mode hérisson, sans vraiment me préoccuper des regards curieux qui se tournaient dans notre direction jusqu'à atteindre un lieu tranquille.
- Es-tu capable de bouger tous tes membres ?
Je secouais vivement la tête. Il était clair pour moi que, même si c'était plus la nervosité que la douleur qui m'empêchait de me mouvoir, je n'arrivais clairement pas à me défaire de cette position que j'utilisais comme moyen de défense même s'il ne restait plus que ma sauveuse et moi... Cependant, je ne cachais pas non plus être affaibli également physiquement et qu'avec les coups violents qui me furent portés, je sentis très clairement l'impossibilité de bouger l'une de mes jambes, la droite exactement. Je jouais encore les petits animaux blessés que l'on devait secourir... Au fond, je me sentais pitoyable.
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Jeu 18 Sep - 4:19
Le jeune home semblait en piteux état. IL ne réagit presque pas quand Heidi le traîna plus loin dans un endroit où les autres ne pourraient les observer. Ce n’était pas l’habitude des audacieux de secourir les sans-factions. Leur rôle était seulement d’éviter les émeutes et si possible de les empêcher de s’entre-tuer. Mais en général, quand il y en avait un de bien amoché, on le laisser pour mort et on ne s’en occupait pas plus que ça. Mais Heidi n’était pas aussi cruelle qu’elle ne paraissait, c’était seulement son masque pour survivre chez les audacieux. Et de toute façon, elle s’ennuyait et cet homme blessé la changeait de sa routine. Mais s’il ne disait pas un mot, elle ne pourrait pas l’aider, et la jeune femme ne pouvait pas se permettre non plus de perdre toute sa journée avec lui. Si ses supérieurs s’apercevaient qu’elle n’avait pas fait son travail, elle allait être sermonnée. Et elle ne tenait pas à perdre de la crédibilité alors qu’elle venait à peine d’être admise chez les audacieux.
«Écoute, je ne sais pas qui tu es, et tu ne me connais pas non plus. Je comprends bien que tu ne sois pas habitué à voir des audacieux aider des sans-factions, mais moi je suis comme ça. Tu n’es pas obligé de me faire confiance, mais je ne pourrai pas rester longtemps sans être dans le pétrin. Alors ou tu te décides à me répondre pour que je puisse voir si je peux t’aider, ou tu devras t’arranger seul. » Heidi laissa sa phrase en suspens. En vrai, elle n’aurait pas eu réellement de scrupule à abandonner l’homme à son sort s’il ne faisait pas au moins l’Effort de lui répondre. Après tout, elle ne elle connaissait même pas. «Mais je doute que tu aies envie que ces sales voyous viennent finir le travail non ? Est-ce qu’il y a au moins un endroit où je peux t’apporter pour qu’ils prennent soin de toi ? »
Heidi se demanda soudain pourquoi elle faisait ça ? Pourquoi risquait-elle sa carrière pour un homme qu’elle ne connaissait même pas ? En fait, elle avait seulement suivi son instinct primaire, mais là, elle devait revenir à la raison. Sa carrière d’audacieuse n’était pas de jouer les infirmières, elle ne pouvait se permettre cela, elle avait bien d’autre travail. Et s’il se passait quelque chose pendant qu’elle était censée être de garde, ça passerait sur son dos et elle ne pouvait se permettre cela. Elle se leva donc prestement. «Je suis désolée, je dois y aller, le devoir m’attends. J’ai fait ce que j’ai pu pour toi, je te souhaite bonne chance pour la suite.»
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Le Gouvernement
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Sam 9 Mai - 16:05
ARCHIVAGE DES RPS
Ce sujet n'a pas reçu de message depuis PLUS d'un mois et malgré les relances, il n'y a eu aucune réponse, il est donc ARCHIVÉ.