Je suis l’ainée, mais aussi loin que je m’en souvienne j’ai toujours été considérée comme la plus jeune, ma sœur réussissait tout mieux que moi, aussi bien dans la vie social que professionnel. Cela avait de don de m’énerver. Toute l’attention était pour elle et je suis resté solitaire pendant de nombreuses années. La regardant de loin en fulminant ma colère à l’intérieur de moi. Mais ma faction, les Fraternels, étant très amical, je ne restais jamais bien longtemps seul. J’ai eu des amis, des vrais. Mais au fond de moi j’ai toujours sue que ce n’était pas totalement moi avec eu. C’est assez difficile à expliquer. Nos jeux d’enfants me sont très vite parut fade et ennuyeux. Je me souviens de la première fois où j’ai vu les Audacieux. J’avais huit ans. Certains d’entre eux ont passé le mure et j’avais couru à travers champ pour apercevoir le train d’où ils sautaient s’en peur. L’un des Audacieux m’avait souri, un sourire que je n’oublierais jamais. Ils sont restés jusqu’au jours couchant et c’est ce jours que je sue qu’à mes seize ans, ma main ce tiendrait au-dessus des cendres.


La vie dans ma faction était agréable. Je me fis plus d’amis et courrait toujours à travers les champs. A quatorze ans ma vie était déjà toute tracer, programmer. Je choisirais le Fraternel et j’épouserais Zack, le fils du responsable des chargements pour les autres factions et je travaillerais avec eux. La perspective de faire partie de ceux qui se rendait au près des autre factions me plaisait tant est si bien que ma famille ce glorifiait d’avoir fait le bon choix. Mais je n’aimais pas du tout Zack. La perspective de m’épouser très vite lui plaisait beaucoup trop et il prit vite des attentions envers moi que je n’aimais pas. Je me sentais agresser, bien que ce ne fût pas le cas. J’osai en parler, ce qui scandalisa tout le monde. Je crue que l’allait devenir sans faction, mais heureusement Zack avait un frère qui n’avait pas encore d’épouse promise. Il était plus vieux, bien plus vieux, mais il était aussi plus sage, ce qui me contenta, au grand plaisir de nos deux familles. Au fil des années j’appréciais de plus en plus les Audacieux. Certain me faisait peur, ce qui me rappelait à ma faction.

Quand j’eu seize ans, que je me retrouvai devant cette porte, prête à passer le test d’aptitude, je n’angoissais pas pour le résultat, je savais qu’il dirait que je ne suis pas une Fraternel. Mais sur comment les autres réagiraient. Ma vie était toute tracer, même mon mariage était déjà programmer. J’avais même déjà essayé la robe et à cette heure-ci la mère la raccommodait.

Quand je me réveilla du teste, la personne resta silencieuse avant de m’annoncer le résultat. J’étais Fraternel… J’étais Audacieuse… et Érudit… Une Divergente.



Comme je le savais depuis ce jour de mes 8 ans ma main ce porta au-dessus des cendres sans aucune hésitation. Et alors que je rejoignais ma nouvelle faction je vie des visages scandaliser et non triste là où quelque instant avant j’étais assise.

Mes premier pas chez les Audacieux fut exactement ceux a quoi je m’attendais. Je me cogna la tête en sautant sur le mur et alors que je la tenais en gémissant de douleur, sentant un liquide chaud sur mon front, un Altruiste vint m’aider. Il nettoya rapidement ma plaie des cailloux et le la poussière et m’encouragea vivement à me montrer forte. Pour ne deuxième saut j’eu bien moins peur que de sauter du train en marche pensant que le but était juste de bien viser. Ils ne pouvaient pas tuer toute les nouvelles recrue. Je n’attendais donc pas la mort au fond du trou. Une fois au font je changeai de nom. Une part de moi ne voulait disparaître. Tourner la page pour de bon.


Les entraînements furent très difficiles pour moi mais les instructeurs saluèrent tout de même ma volonté qui frôlait parfois l’envie de suicide. L’ancien Altruiste qui m’avait aidé sur le toit était le meilleur du groupe et je ne voulais combattre qu’avec lui. Qu’avec les meilleurs. Je me contentais aussi d’Eric, mais on devient le meilleur en combattant le meilleur. Il y eu une sorte de seconde compétion plus saine entre nous et nous finîmes par devenir amis. Ce qui nous éloigna fut le choix de notre affection. Pour moi ce fut le terrain, aller au-devant des choses et ramenant quelque cicatrices.