❖ a little anatomy lesson. ➢ amytice dawson & joshua stenford
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Ven 22 Aoû - 23:17
amytice & joshua & chaton
A Little Anatomy Lesson.
it cuts.
The Temper Trap - Science of Fear
Je ne sais pas ce qui se passe. Est-ce la faute de l'un de mes clients qui m'auraient drogués ? J'ai la tête qui tourne et je suis éblouie par la lumière se trouvant au-dessus de moi. J'ai l'impression de vivre en plein cauchemar. J'ai si peur de ce qu'il pourrait m'arriver et surtout, j'ai si froid... A l'habituel, je fais en sorte de porter des vêtements bien chaud pour me protéger de la basse température, surtout lorsque la nuit commence à tomber. Mais là, j'ai l'impression que rien ne sépare de mon dos à ce support froid. On aurait du métal, mais je ne vois par pourquoi j'aurais pris l'idée de dormir dessus et surtout en plein soleil bien que je doute que, malgré ma vue brouillée, je ne sois point dehors, en train de faire bronzette tranquillement. Je cherche alors pourquoi et surtout où suis-je. Je poste mollement un bras au niveau du visage pour me faire de l'ombre et remarque alors à tel point il m'est difficile de le faire, comme si j'étais à moitié endormis. Oui, on m'a sans doute drogué. Mais pourquoi ? Je suppose que l'on m'aurait sans doute abandonné dehors si c'était un client qui ne voudrait pas me donner de la nourriture après avoir profité de mes services, mais il semblerait que cela ne soit pas le cas alors que je détournais le regard pour apercevoir les alentours. Un environnement pratiquement blanc d'après ce que je pouvais rapidement conclure. Pas de passants qui défilent. Rien. J'étais seul et lorsque ma vue revenue complètement je pouvais même très clairement décrire l'endroit. Un laboratoire dont je me souvenais avoir vu quelque part. Oui, je le sais. Je me rappelle alors de l'entretient que j'eus avec une Érudite pour participer à un cours. Que l'on avait demandé, parmi les Sans-Factions, qui parmi nous auraient voulu venir pour leur servir. On ne m'avait pas vraiment précisé pourquoi, mais on nous avait promit de la nourriture et c'était amplement pour nous motiver. Moi en tout cas, cela me motiva mais ce qui me poussait encore plus à venir, c'était les Erudits, cette faction pour laquelle j'aurais donné n'importe quoi pour pouvoir m'y intégrer même s'il y avait bien évidemment ma famille chez les Sans-Factions pour lesquels, j'aurais renoncé volontiers tout pour eux. Et puis, je n'ai jamais mis les pieds à l'école, je n'avais donc pas appris à lire ou à écrire, alors j'aurais passé pour un malin fasse à la feuille de test. Mais aujourd'hui, c'était différent, on nous avait proposé de les rejoindre pendant un cours, je n'avais donc pas perdu une seconde pour me proposer, et qu'importe les tâches que l'on aurait bien pu nous donner, que ce soit concierge ou essuyeur de tableau, au moins je pourrais apprendre quelque chose en même temps.
Mais d'ailleurs, quand est-ce que le cours allait se dérouler ? Comment cela se faisait-il que je me retrouvais ici alors que je devrais y être depuis longtemps ? Je voulu me lever vivement, mais je suis pris d'un étourdissement et je manque de tomber de cette table de fer en plus de vomir. Je tente de me tenir en place mais j'ai la sensation de tanguer à chaque fois que je tente de me lever, je suis si fatigué... Mon dieu, mais qu'est ce qui m'arrive et qu'est ce qu'on m'a fait ? Je laisse tomber mon bras se trouvant sur mon visage, légèrement plus bas sur mon torse. Là où je cru pouvoir toucher et sentir mon squelette sous ma peau, je sentis une horrible bosse. Je fronçais les sourcils intrigué, avant de lever légèrement la tête pour voir ce que cela pouvait bien être. Une cicatrice. Une horrible cicatrice partant de mon cou et continuant jusqu'en bas, allant se cacher sous cette fine couverture blanche qui dissimule mes hanches jusqu'à mes pieds. Enfin, dissimuler est un grand mot. Elle est si blanche qu'elle semble transparente, à tel point que je me devine aussi nu qu'un ver...
Je détourne à nouveau mon regard aux alentours, cherchant mes vêtements mais il semblerait qu'ils soient absents. Peut être les ont-ils jetés à la poubelle en voyant leur état, à moins qu'ils ne les ait mis de côté. Je ne sais plus vraiment quoi penser de ces personnes. Si ça se trouve, ils continueront de me garder et de m'ouvrir encore. Non, je ne compte pas me laisser ainsi utiliser de la sorte. Et je n'hésiterais pas à me défendre, si l'un d'eux désire me faire du mal. D'ailleurs, j'entends quelqu'un revenir. Je ne cherche pas à savoir ce que cette personne compte faire que je me laisse retomber sur le sol pour aller ramper jusqu'à un coin de la pièce avec ce bout de tissus transparent en guise de pseudo-cache. Dès que je vois une ombre fait son entrée, je crie...
- Non.. Ne m'approchez pas...!! Ne me faites pas de mal !! Qu'est ce que vous m'avez fait !? Vous m'avez promis que je pourrais participer au cours !! Pourquoi vous m'avez menti !? J'ai... Si mal...
- - Ne t’inquiète pas, je ne te veux aucun mal… A ta place, je retournerai m’asseoir, tu dois être encore un peu sonné par l’anesthésie, tu risquerais de te blesser et même d’abîmer ta cicatrice. En plus, ton organisme est encore à moitié endormi, sans compter qu’il a été affaibli par l’opération, tu vas attraper froid sur le carrelage, tu n’es pas encore prêt à lutter contre les agressions extérieures.
Je la dévisage un instant, comme pour surveiller ces moindres mouvements. Je ne sais comment si je devais ou non croire à ses dires. Après tout, cela devait être elle qui m'a endormit. Et si ce n'est pas le cas, de toute façon, c'était un autre Érudit. Une personne de sa faction... Me prouvant alors à quel point je ne pouvais réellement leur faire confiance. Il n'y avait que les Sincères dont on pouvait aisément les croire puisqu'ils ne mentent jamais. Mais un Érudit ? Eux ils ont la connaissance de tout, mais cela ne veut pas dire qu'ils sont prêt à la partager. La preuve en était que, au lieu d'être là en train de suivre le cours qu'il aurait dû avoir lieu, on m'a placé sur cette table complètement nu avant de me découper en long. Je me collais donc d'avantage contre ce coin de pièce espérant gagner encore plus d'espace entre moi et elle, tout en gardant ce vulgaire drap fin en essayant de me cacher un maximum, même si j'avais la sensation qu'en réalité, cela ne m'abritait en rien. Après tout, c'est eux qui m'avaient déshabillé et c'est eux qui avait ouvert mon corps. Ils avaient déjà tout vu, et je m'interrogeais maintenant s'il y avait encore de l'intérêt à m'avoir recouvert de cette toile. Je n'en savais rien, je n'avais plus la sensation d'être protégé. Plus du tout. Non pas par rapport à ses conseils dont je n'avais que compris qu'à moitié. Mais dont j'avais malgré tout saisi le plus important soit, être en sécurité en restant sur cette table. A quoi bon ? Elle était aussi fraîche que le sol lui-même ! Et je savais mieux que quiconque comment il fallait survivre ! Je suis un Sans-Faction ! Nuit et Jour j'affronte la température et la maladie. Selon moi, il fallait que je porte des vêtements, cela en était tout. Et il fallait que je porte mes vêtements.
Mais je n'osais pas lui demander de me les redonner. Je me disais que peut être, elle ne voudrait me léguer ces bouts de lambeaux qu'elle songerait sans doute être bon à être mit à la poubelle tandis qu'ils sont beaucoup pour nous autre. Je ne voulais tout simplement pas paraître comme un imbécile aux yeux d'une personne que l'on considérait comme celle qui avait la connaissance infuse, même si je savais bien qu'en réalité, cela devait être fait alors que je me retrouvais là, recroquevillé sur le sol avec ce bout de tissus minable entre les doigts, essayant de le replacer correctement et constamment sur mon corps frêle. Mais je restais fier, comme je le démontrais en ne désirant saisir sa main lorsqu'elle me la tendit pour m'aider à me relever, de même que j'étais effrayé à l'idée qu'elle ne m'emmène je ne sais où encore pour me rendormir une nouvelle fois. Au lieu de cela, je tente de garder ma place dans ce coin, croyant qu'en restant dans cette position, la tête ne tournerait pas, même si je ne suis toujours pas défait de l'emprise du froid sur ma personne, continuant donc à trembler éternellement. Et puis, il fallait dire aussi que la peur avait son rôle à jouer là-dedans. Je me sentais comme un pauvre animal pris aux pièges et livrer qu'à soit même.. Je devrais même dire, condamné à la merci de cette femme que je connaissait à peine. Mais elle me proposa quelque chose qui me tira de ma prostration...
- - Je serai ravie de t’expliquer ce que nous t’avons fait, et je t’assure que nous ne t’avons pas menti. Tu as participé au cours. Seulement, peut-être pas de la manière que tu imaginais...
Je la regarde surpris. Alors comme ça, j'ai participé au cours ? Il était déjà finis ? Pourtant, je n'avais en mémoire l'idée d'y être présent. Non, je n'étais pas là lorsqu'ils avaient fait le cours. Je ne me souviens pas des élèves présents, ni même du professeur leur apprenant les choses de la vie. Ces choses que moi-même je ne saurais expliquer, les pensant tout simplement innées. Si des plantes savaient pousser, c'est qu'il en était ainsi. Comme le fait qu'il puisse y avoir des factions et que j'étais né Sans-Faction. Le monde est bien fait même s'il n'est pas particulièrement parfait. Il subsistait comme je le faisais moi-même et comme tout être tentait de le faire. Même sans nous, il continuerait son existence comme il lui a été donné d'exister, et cela, sans même s'étonner devant les étrangetés. Bien souvent, je m'étais interroger pourquoi j'étais né au plus bas de la société alors que j'aurais pu être apparu dans une famille d’Érudits sans jamais trouver une réponse alors que mon éducation reste limité. Et c'est d'ailleurs pour cela que j'avais eus toujours de l'admiration pour les Érudits, qui eux, savent répondre justement à ces questions là et même ceux plus compliqués encore. Je ne sais pourquoi, cela me donnait presque avoir la sensation d'être face à d'autres personnes, que je si j'étais Sans-Faction, c'était tout simplement parce que je n'avais pas ma place dans cette société parce que jamais je n'arriverais à comprendre ces autres personnes qui réussissaient dans la vie. Tous pensaient que nous avions sans doute tout simplement la paresse de chercher à nous intégrer alors que je n'attendais que de ça. Que d'ailleurs même, c'était pour cela que j'avais accepté de servir pour ce cours et cela, même sans savoir exactement le rôle que j'allais joué. Mais je me rendais alors compte présentement que, le fait même d'être apeuré à l'idée de me retrouver au côté de cette personne qui avait dû me couper, prouvait à tel point que, même si être Érudit serait mon vœu le plus chère, cela me serait tout bonnement impossible. Je suis un Sans-Faction parce que mon destin en avait décidé ainsi. Mais mon destin avait aussi à ce que je participe à ce cours, à ce que je rencontre cette personne qui veut bien m'expliquer ce qui c'était passé...
- Oui... Oui je veux savoir ce que vous m'avez fait. Je veux savoir ce que vous avez parlé. Et pourquoi...?
Même si je désirais cacher l'effroi qui secouait mon corps, on pouvait aisément le ressentir dans le ton de ma voix.
PS : Désolééée du retard, j'ai eu des empêchements de dernière minute.
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Joshua Stenford
Messages : 2082 Points : 2205 Date d'inscription : 11/07/2014 Age IRL : 28 Localisation : Pas simple de me croiser ! Humeur : Toujours bonne !
Carte d'identité Mon âge: 23 ans Ma faction d'origine: Audacieux Mes relations:
Dim 14 Sep - 15:24
~ A Little Anatomy Lesson ~
Feat Chaton & Amytice
Après avoir fini les dernières lignes de mon article, j'éteignais l'ordinateur et sortais du bureau, déjà désert. Je n'avais pas regarder l'heure et je me rendais compte qu'il était déjà tard. Je range les quelques papiers qui traînent sur mon bureau et je vois un petit post-it que j'avais mis dans un coin. J'avais promis à une amie de lui rendre service. J'avais complètement oublié. Je prenais alors mon portable et composais son numéro tout en gagnant la sortie. Elle était contente d'avoir de mes nouvelles, un peu moins lorsque je lui annonçais que j'avais oublié. Elle s'énerva un peu en me faisant comprendre que c'était une affaire de la plus haute importance mais avec mon charisme habituel, j'arrivais à détendre la conversation. Bien évidemment, je devais faire cette requête au plus vite, je mangerais que plus tard où sur le trajet. Je prenais le petit colis qu'elle m'avait remis. Je n'avais aucune idée de ce qu'il pouvait contenir, ce n'était pas primordiale m'avait-elle dit. Je n'avais pas cherchais à en savoir plus. Je pris le colis avec mes affaires et en fermant les portes étant donné que j'étais le dernier, je le manipulais avec précaution. Et puis ma curiosité commençait à s'éveiller. Je le secouais légèrement en essayant de m'imaginer ce qu'il pouvait contenir. Je regardais alors l'adresse qui était indiqué dessus. Je connaissais bien ce quartier. C'était un quartier résidentiel de la ville il me semble. Je prenais alors mon vélo car il faisait relativement chaud pour la saison donc je n'avais pas besoin de sortir la voiture, en plus, je n'habitais pas loin. Je prenais donc les rues calmes et silencieuses et pédalais sous les lumières des lampadaires. La plupart des habitants devaient être en train de manger, de travailler voire même de dormir mais je n'avais que faire des règles drastiques des horaires de travail et des temps de sommeil. Je faisais mes propres horaires et cela m'allait bien.
J'arrivais dans le quartier en question. L'éclairage public était éteint, sauf les lampadaires devant l'établissement d'enseignement. Je m'arrêtais donc à la lumière pour voir le numéro sur le colis. Il s'agissait du 28. Je regardais alors les maisons en face mais je ne voyais pas les numéro, je regardais alors le numéro de l'établissement devant lequel j'étais pour me situer. A ma grande surprise, c'était le numéro 28. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi mon amie m'envoyait dans un établissement public et je commençais à me poser beaucoup de questions sur le contenu de ce colis. Cependant, connaissant mon amie, elle ne se trompait jamais. Je poussais le portillon qui était encore ouvert par chance et me dirigeait vers le bâtiment où il y avait encore de la lumière. Je n'étais donc pas le seul à être encore éveillé à cette heure tardive, par chance, je pourrais remettre ce colis. Je saluais la femme de ménage et lui demanda où je pouvais trouver du monde. Elle m'indiqua alors l'étage et la salle. Je la remerciais et faisais attention où je posais les pieds pour ne pas passer sur les zones qu'elle venait de nettoyer.
Quelques souvenirs nostalgiques me revenaient en mémoire. D'agréables souvenirs. Je montais les escaliers et écoutais quelques conversations lointaines. Je me rapprochais de la salle en questions. A travers la vitre opaque, je voyais de silhouette. L'une assise, l'autre debout plus loin dans la salle. Je ne savais vraiment pas ce que je faisais ici. Je frappais à la porte comme lorsque j'étais étudiant et je rentrais après cela. Un homme se tenait sur une table métallique à roulette, et une femme cherchait quelques choses dans le placard, je suppose qu'il s'agissait d'une professeur mais je n'en étais pas sûr. Leurs regards se tournaient vers moi. Sans doute se demandaient-ils se que je faisais ici ? Je n'en savais rien non plus, en espérant qu'elle soit plus au courant que moi sur le contenu de ce colis.
- Bonsoir, je m'appelle Joshua, mon amie m'a demandé d'apporter ce colis ici, elle ne se trompe jamais, sans doute savez-vous à qui je dois m'adresser ? Sinon, vous avez quelque chose pour l'ouvrir ?
Je vis alors une paire de ciseaux qui traînait sur le bureau. Je les pris et pu enfin assouvir ma curiosité. Il s'agissait de médicaments. Mais pourquoi m'avait-elle fait amener ces médicaments ici. Je me tournais alors vers la jeune femme avec un air interrogatif.
Voilà, l'incruste est arrivée ! C'est un peu fantaisiste mais il fallait bien trouver quelque chose ! J'ai mis l'action la nuit mais en fait, je crois que ça n'a pas été dit avant . . . Bref, s'il y a un souci hésites pas, je modifies.
PS : Chaton, je t'en supplies, tu peux écrire un peu plus gros ? je suis pas bigleux mais quand même, MERCI
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Le Gouvernement
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Sam 9 Mai - 15:47
ARCHIVAGE DES RPS
Ce sujet n'a pas reçu de message depuis PLUS d'un mois et malgré les relances, il n'y a eu aucune réponse, il est donc ARCHIVÉ.
RP ABANDONNÉ
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